l'histoire commence: changement (Az 2)

*méga-mal-de-tête*

Je ne peu meme pas bouger un doigt.Je me peu meme pas ouvrir les yeux. Mon corps est si lourd. J'ai un gout amer sur la langue.

Je réussi enfin à me lever après de longues minutes. Je traine ma carcasse jusqua la sallle de bain. Étonnant, je suis chez moi. le mirior au dessu du lavabo m"a fait peur, en fait c'est mon reflet qui ma fait sursauter. Mes joues sont creuses, mes yeux sont très cernés et mon visage est plus que blème, voir plus que blafard. J'ai laire d'un mort-vivant.

je regarde l'heure, 9h30. mer** chut en retard pour la job! je passe sous la douche et m'abille rapidement. Je cours vers mon scooter et déguerpi le plus vite possible (que la loi le permet). J'arrive enfin, va voir ma boss.

O_O ma boss étai au courant our Mike, j'ai 15 jours de congé PAYÉS. Ok ma boss est tombé sur la tête XD. Tk je passe à mon bureau ,prend quelques affaire et les mets dans mon sac avant de sortir. Je reprend la route vers chez moi. Je dépose mon sac sur le divan, me change et reprend mon scooter vers Limoilou. Je me garde dans la ruelle et rentre au ''QG'' (on est pas dans james bond!) ou ma gang se tient. Jack joue au fléchette. Max s'amuse a démonté et remonté son nouveau fusils (il capote dessu). Flow conte sa derniere ''paie'' et Jim regarde par la fenetre. La place de Mike est vide, je m'asseoi à ma place.

La tête ailleur je fixe le plafond repein par mike (''refiguré'' dans ses termes).

-A tes arriver plus tot today? pourquoi?

- j'ai 15 jours de congé *Je regarde vers la place vides de mike, avec un grésillement sourd au fond du ventre* fac jai plus de temps 'vec vous gang.
-ok.

-commen va Mike?

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-Il est mort
- depuis..
-5 jours

...

Je me leva d'un coup et me dirigea vers mon ''punching bag'' je pris ma dague et lui asséna mes traditionnelles coups, travailla mes feintes et mes coups directes, jusqu'à engourdir mes bras. Puis ma dague glissa de ma main pour tomber bruyament sur le sol de béton. Mon regard se perdi au travers des plume qui tombais à leur tour. Je vais devoir recoudre la couche de plastique, elle est presque fini. je repris péniblement ma dague puis me laissa choire sur mon fauteuil à nouveau.

- Ya une soirée chez Mélis, si tu feel pour sa, vien faire un tour on sera tous la...

*silence lourd*

je vais voir...

Un coup d'oeil à ma montre, je vis qu'il était 11h moins 15. je me leva et sorti. J'ai faim. Je me dirigeais vers la rue st-Jean et rentra au premier resto, Commanda le premier plat du menu. Puis j'attendis en feuilletant lassement de journal du jour. A près une éternité mon plat arriva. Je le mangea rapidement, paya, puis je sorti. Mes pas me mène à la terrase Dufferin, face au fleuve. Mon regard se perdi dans le bleu de l'eau, l'esprit dans le passé, de ma première rencontre avec mike, jusqu'au dernier moment.

Pour la premiere fois, je senti un larme couler sur la joue pis une autre, pour finir en un torrent qui me brouilla la vue. J'ai oublié mon scooter au QG. mer**. Je regarda ma montre, 12h30. Je revin sur mes pas. Le mal-de-tête de ce matin me revin à l'esprit, je tente de reconstruire les souvenir de hier soir. l'inconnu, le verre, l'appartement, puis rien, un vide jusqu'au mal de tête. J'arrive au QG, je prend mon scooter et repars en dirctions du quartier St-Rock. Je prend du gaz en passant. puis je me dirige vers le jardin pres de la fontaine.

J'ignore combien de temps je suis rester la à fixer l'eau couler. Puis les dernier mots de Mike se mirent résonner dans la tête. Ces mots se grave dans ma tête et alourdis son absence.

5h30, Mon scooter est à mon apparte, j'ai décider de marcher. J'observe, la tête ailleurs. Tous se que je sais c'est que j'ai atterris dans un parc. Le soleil commence à se coucher.

Plus la lumiere faiblissait , plus le grondement sourd dans ma poitrine s'emplifiait, jusqu'à devenir insuportable. Mes genoux me lache, mais la douleur du choc parru lointaine. AU loin je voi un ombre qui sapproche, lenvi soudaine de foncer dessu menvahi, mais je suis incapable de me controlé...

En fait, ce n'est pas l'envie de lui foncer dessus, mais plutôt le besoin de m'en approcher. Une force étrange aspirai mon attention vers cette ombre qui s'éclaircie peu à peu. Après une éternité son visage paru clair, avec un rictus vainqueur. C'est l'inconnu. Il s'avança vers moi. Il m'observa, comme on observe un rat de laboratoire. Puis il s'avança encore et dit:

-Suis-moi

Je tente de me lever, par miracle je réussi. Je le suivi. Rien, en moi, ne sembla s'opposer à se que je le suive, au contraire.

Il me guida vers son appartement à nouveau.

Lorsque l'on fut arriver. le patio du salon donnais une vue inprenable de la lune qui semblais énorme. L'inconnu se planta devant moi, avec le même rictus hypnotisant.

- Apartir de maintenant, tu doit etre ici à chaque soir, avant le coucher du soleil, les Humains ne doivent pas voir ta transformation.

-En quoi je me transforme?

-Tu devien une ghoul, mon esclave. C'est un cadeau que je t'es fais! Tu es plus forte, plus rapide, plus endurant, tu te régénère plus vite, tu ne tombera plus malade.

-Mais qui es-tu?

-Je suis...

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-... Sir Aldea, mais tu peux m'appeller '' Maitre '' désormais...

La jeune femme me regarde d'un air de plus en plus interrogateur; elle est complètement perdu.

- * soupir * Bon... commençons par le commencement... lorsque je t'ai vu pour la première fois, tu étais à moitié saoule dans un bar la nuit. Bien sûr je ne suis pas l'homme le plus généreux du monde, mais tu n'avais pas l'air très heureuse ce soir là... alors on s'est mis à danser ensemble. Quelques minutes plus tard, j'entend des personnes complotés dans un coin du bar. Tu étais une cible, Ann-Azure... j'ai donc décidé de t'emmener à l'écart pour le moment. Une fois dehors, j'ai essayer de te demander, pourquoi ses gens t'en voulaient-ils. Mais tu n'avais pas trop l'air de vouloir bavarder donc je n'ai pas trop insisté. Une fois à l'appartement, je t'ai fais boire mon sang avant que les ''gangsters '' qui nous avaient suivient enfoncent la porte. Ne t'inquiète pas, je me suis occupé d'eux... ce n'est pas bien difficile à éliminer deux hommes armés de revolver, pour nous, les vampires... peut-être qu'un jour tu sauras l'une des notre ! Qui sait ?

Je la regarde attentivement, elle baisse les yeux vers sol, l'air un peu troublé... décidement, elle est de plus en plus perdu. Elle se demande surment si elle doit me croire ou pas ! J'ai une petite idée pour la persuader...

- Tu as une arme présentement n'est-ce pas ?

La femme me regarde de nouveau.

- Alors tues-moi ! Si tu en es capable...

Je la regarde intensément dans les yeux, lui souriant de mes belles canines.

-Alors tues-moi! Si tu en es capable...

Ses paroles résonnaient encore dans ma tête. Complot, j’étais la cible. Vampires? Être des leurs? Puis ses derniers mots eurent un effet de bombe sur moi, je reculai d’un pas. Son regard persan me heurta les sens. Ses canines luisantes me firent ravaler ma salive. Ma dague semblait vouloir hurler sa présence dans ma botte droite. Il m’ordonnait de le tuer alors qu’il disait m’avoir sauvé?? Je ne comprends plus. Pourtant une force m’obligeait a m’accroupi et saisir ma dague. Je la lançai, inconsciemment, en direction du cœur de Sir-Quelque-chose. La lame fit un bruit sec en se plantant directement entre deux côtes à l’endroit du cœur. Le sourire de l’homme grandit. Je m’approchai, il sembla trop calme pour quelqu'un qui venait de se faire transpercé le cœur. J’entrepris de retirer la lame, elle glissa comme dans du beurre. Puis, quand je regardai la plaie, elle cicatrisa presque sur le champ. Je levai la tête et vis le sourire satisfait de Sir A-truc comme si aucune explication ne devait être ajoutée. Lorsque je touchai la cicatrice, je frissonnai à cause de la froideur de sa peau. Vampire. Il l’était vraiment. Tien, son pendentif me rappelle quelque chose...

-T...

Ma dague me glissa de la main et tomba bruyamment par terre

-Oui je suis techniquement mort.

Mort. Mike. C’est deux mots on le même nombre de lettres ils sont maintenant inséparable pour moi puisque Mike EST mort. Mon regard a du se fixer et se perdre, puis que l’homme m’a pris la tête a deux mains. La fraîcheur de celle-ci me heurta. Il m’obligea à le regarder dans les yeux. Il sembla chercher quelque chose dans mon regard. Peut-être a-t-il vu Mike. D’une façon ou d’une autre il savait que je n’allais pas. Il se retourna vers la fenêtre. L’obscurité venait. Il ouvrir les lourds rideaux.

-Je suis désolé, tu va vivre ta transformation en étant psycologiquement instable. Elle sera plus douloureuse.

Par la fenêtre je vis la lune. Un immense frisson me parcouru. Je senti le sang battre dans mes trempes. L’homme s’approcha de moi. Le sang qui frappa dans ma tête me fit souffrir. Lui sembla avoir un regard désolé et intrigué. Mon cœur sembla vouloir imploser. Inconsciemment ma main s’agrippa son bras. Mes jambes m’ont lâché au moment où la lumière de la lune me frappa plus fort. Je senti chaque fibres de mon corps bruler intensément. Un vide me creusa le plexus solaire. Je tremblai trop pour me relever. Je restai là, à genoux, avec un inconnu comme seul support.

Le reste de la nuit me sembla vague. Nous passâmes la nuit à l’appartement. Il semblait vouloir en savoir plus sur moi, avant l’accident. Il essaye peut-être de m’aider. Qu’importe. Un deuil n’est jamais facile. La seule certitude que j’ai est l’étrange sensation d’avoir enflé de tout mon corps ou presque. Mes vêtements me semblaient un peu plus ajustés. Ce n’est que pendant cette soirée que j’ai remarqué que j’avais très peu mangé depuis la mort de Mike. A peine un vrai repas en cinq jours. Peut-être que j’avais maigri pendant ces cinq jours et que ma ‘’transformation’’ m’avais donné ma taille normale.

Le soleil refaisait surface. Il montait paresseusement. Nous avions passé la nuit à discuter. Et moi j’essayais d’être à l’aise dans mes muscles endoloris par la transformation. Quand je me levais pour partir, j’eus l’étrange sensation d’avoir rapetissée. En croisant le miroir de l’entré je vis que j’avais l’aire d’un zombi même si je me sentais en pleine forme…

Au pas de la porte. Sir Adea (oui j’ai retenu son nom) m’interpella. Il me tendit une petite bouteille.

- tu sauras lorsque tu en auras de besoin.

Un liquide rouge foncé s’y trouvait. Je pris la bouteille en me retenant de crier de surprise puisqu’elle semblait gelé au toucher, malgré l’état liquide de la substance.
Je restai là à fixé le seau de cire rouge de la bouteille. Il y avait un triangle équilatéral pointé vers le haut qui était divisé en 3 partis donc les segments de séparation se prolongeait du milieu de chaques côtés jusqu’au cercle qui entourait le triangle. Un symbole trop familier à mon goût…

-…

Alors que je venais de lui donné l'ordre de me tuer, elle se pencha pour prendre quelque chose dans sa botte... une dague ! Rusée la petite... mais sera-t-elle vraiment capable d'agir ?

*SLINK*

Je retiens un gémissement de douleur, au lieu de cela, je lui fais un de mes plus beau sourrir, qui camoufle ma souffrance en ce moment. Oh ! J'en ai recu des coups dans ma longue vie: des sabres, plusieurs rapières, des flèches, des poignards, et même des balles ! Mais cette fois, je dois avouer que je ne m'y attendais pas à ce tir... aussi précis ! Après quelques instants je ne sens presque plus la lame. Az se rapproche, pose sa main sur son arme, et la retir.

Heureusement pour moi, je suis un puissant vampire et la blessure disparait quaisi-instantanément. L'air curieuse, la jeune femme touche l'endroit où sa dague était plantée il y a 10 secondes. Sa main est chaude... ça me rappelle la derniere fois où j'ai pu ressentir la chaleur humaine sur moi ! Ca doit faire au moins... mer** ! Elle regarde mon pendantif d'un drole de facon, comme si elle l'avait deja vu quelque part.. reconnait-elle le symbole de L'Ordre du Dragon ??? Si c'est le cas, je serais malheureusement obligée de la...

-T...
*Bruit de la dague qui tombe sur le sol*

La pauvre.. elle doit etre completement perdu ! Ou en étions-nous déjà ? Ah oui !

-Oui, je suis techniquement mort.

À ces mots, elle parait encore plus égarée... aurais-je dis quelque chose de mal ? ... okay, sur ce coup-ci, Vlad, tu aurais dût mieux choisir tes mots... je prend son visage entre mes deux mains, je me rapproche de celle-ci et je la regarde dans les yeux pour mieux sonder son esprit. C'est bien ce que je pensais... Mike... la mort de son ami la touche beaucoup.
...
Je n'ai d'autres choix que de la comprendre. D'ailleur, si près de son visage, Az me fait pensée à ELLE... je la relâche et me dirige vers la fenetre, tout en pensant à ELLE. Apres un cours moment je reprend la parole:

-Je suis désolé, tu va vivre ta transformation en étant psycologiquement instable. Elle sera plus douloureuse.

***
La nuit passa, et au petit matin, avant qu'elle parte, je lui donna une petite bouteille contenant de mon sang, au cas où elle serait en manque de forces durant la journée.

- Tu sauras lorsque tu en auras de besoin.

Elle le regarda attentivement... trop curieuse cette petite !

- Allez ! Pars maintenant ! Fais ce que tu veux de ta journée, va voir tes petits amis si cela te chante ! Mais n'oublie pas de revenir me voir ce soir... je vais avoir une petite surprise pour toi...

Midi... je repense aux dernières heures, excepté déambulée dans les rue comme un zombi avant de me retrouver, je n’ai pas fait grands choses, je n’ai même pas pensée pendant le chemin.

Mon lit me semble étranger, comme si il ne m’appartenait plus. L’image de Mike, la fois ou je l’avais hébergé quelques jours, me revint en tête. *Rire* Il m’avait fait une de ces frousses! Au beau milieu de la nuit, il était tombé sur moi en voulant se couché à coté de moi. Il n’aurait pas du sauter, ou prendre un plus gros élan, mais quoi qu’il en soi, il n’avait pas aimé mon direct plutôt franc pour quelqu'un d’endormit je le revois encore se pincer le nez pour retenir le sang...*sourire mélancolique*. J’ai dû jouer les infirmières et me plier ces caprices pour me faire pardonner! J’ai dû le laisser dormir dans mon lit (J’ai appris qu’il ronflait fort cette nuit là!), lui servir le déjeuner dans MON lit et j’ai dû continuer mon esclavage toute la journée durant jusqu’à se qu’il s’endorme, à sa place, sur le sofa!! On avait tellement rit, j’étais tombée comme une bûche se soir là.

*soupir*

Mike, son visage me hante. Ces trait fin, son regard malicieux et rieur...son attitude de gamin quand il n’avait pas de soucis. Je ne m’étais jamais arrêtée sur ses motivations. Ses derniers mots me l’ont fait remarqués... Pourquoi... J’ai été naïve tout en étant aux aguets. Son sourire franc me revient en tête, ses yeux foncé, profond, si facilement lisible... Du moins, je croyais.

Ma gorge se serra, un poids se fit sentir dans mon estomac. Je ne sais pas pourquoi mais ma main c’est refermé sur la petite bouteille qui était dans la poche de ma veste. Ce contact m’a presque rassurée, malgré le frisson toujours aussi mordant que celui de ce matin. Je fixais à nouveau le seau de la bouteille. Tellement étrange. Une sorte de grondement sourd ma parcouru, je senti une impulsion incontrôlable qui me hurlais d’ouvrir cette petite bouteille.

Une fois dans la cuisine je défis le seau de cire et retira de mon mieux le bouchon de liège. L’odeur que dégageait le liquide me sembla familière, attirante et à la fois terrifiante. Je portai son goulot à ma bouche et en pris une gorgée timide. Le gout amer et métallique me sembla étonnamment rassurant, vivifiant, presque agréable. Je déposai la bouteille sur la table de la cuisine et au moment ou j’aillais m’asseoir. Le vide. Nada. Rien. Comme si on avait rompu les nerfs optiques.

Je me réveillai, et me senti perdu. Je reconnu peu à peu mon appartement mais il était plongé dans la pénombre. Je me relèvai avec difficulté. Et essayai de faire le point lorsqu’un bruit ou la fenêtre du salon attira mon attention. SIR ALDEA??? AH non j’ai raté le ‘’couvre-feu’’. J’allais lui expliquer ce qui était arrivé mais il me devança.

- J’aurais du te prévenir, la première fois est toujours la pire *rire triste* Donc c’est de ma faute, au moins tu ne t’es pas évanouie en pleine rue! *fière de sa blague* Euh.
- Tu sais que ce n’est pas très poli d’entré sans permission? Qu’auras-tu fait si j’avais été dans mon bain?
- Vois, tu n’y es pas en se moment!
- *soupir exaspéré* PENSE : il réplique comme Mike...* sourire triste*
- T’as vue l’heure qu’il est? T’as de la chance tu t’es transformé pendant que tu étais inconsciente! *essaye de se racheté de sa réplique* Tien c’est beau chez toi... *essaye de meublé le silence* Alors, es-ce que la fraicheur est comparable à Herma-Québec?
- EUH quoi exactement?
- Bah mon sang! Tu ne sais pas que les ghoul se nourrissent de sang? Mais dans quel monde vis-tu??
- Euh DAAAhhhh!! DANS LE MONDE DES HUMAINS!!!!!!
- ‘Pas une excuse!
- *soupir découragé*
- Ok ok, ‘Fâche-toi pas! Mais c’est bien la que tu travail, dans un bureau d’ Hema-Québec près d’ici.
- Oui oui, un bureau pas un labo!!
- Ahh. *se tire une chaise* La bouteille devrait te durer quelques jours si t’es pas trop vorace.

C’était donc sa! Du sang, SON sang. Je m’assieds (finalement) et fixai Sir Aldea en attendant sa prochaine bêtise ou information. Va-t-il passé la nuit ici? Va-t-il m’imposé une nouvelle règle ou m’Apprendre quelque chose d’essentiel qu’il a oublié de préciser?

-...

J'ai passé toute la journée a mettre ma ''surprise'' sur pied. Même pour un puissant vampire comme moi ça n'a pas été de tout repos ! Je dirais même très difficile par moment, j'ai même cru un instant que tout allait raté à cause du facteur temps... mais j'ai déjà fait des choses bien plus miraculeuse dans le passé ! J'espere au moins que ma nouvelle ghoul, Az, sera heureuse...



J'ai laissé le présent d'Az chez moi, ce serait peut-être un peu risqué de le déplacer maintenant ! Pour l'instant je vais chez elle, ce sera probablement la derniere fois que c'est moi qui vient a elle. Ce n'est pas moi l'esclave après tout ! Bon... je pourrais entré par la porte comme tout le monde, mais ce ne serait pas drôle, et en plus il n'y a personne pour me voir dans la ruelle. Je vérifie quand même pour m'apercevoir que le seul etre vivant doté d'une supposé intelligence autre que moi ici est un clochard... ivre mort, à moitié endormi... tant pis ! Quel appartement déjà ? Ah oui ! Je me penche un peu pour me donner un élan, et en l'espace d'un grand saut je m'agrippe à sa fenetre. Zut... la fenetre est verrouillé... tant pis ! Je regarde fixement la serrure, je me concentre un peu, et en un instant, elle se déverrouille et la fenetre s'ouvre d'elle-meme.

- J’aurais du te prévenir, la première fois est toujours la pire *rire triste* Donc c’est de ma faute, au moins tu ne t’es pas évanouie en pleine rue! *fière de sa blague* Euh.

- Tu sais que ce n’est pas très poli d’entré sans permission? Qu’auras-tu fait si j’avais été dans mon bain ?

C'est a ce moment que je dois me retenir de dire que les choses n'aurait été que plus interessante...

- Vois, tu n’y es pas en se moment!

- *soupir exaspéré* *sourire triste*

C'est quoi ce sourrir ? Qu'est-ce que j'ai dis encore ? Un autre souvenir de son ami perdu ? Vite... changeons de sujet...

- T’as vue l’heure qu’il est ? T’as de la chance tu t’es transformé pendant que tu étais inconsciente ! *essaye de se racheté de sa réplique* Tien c’est beau chez toi... *essaye de meublé le silence* Alors, es-ce que la fraicheur est comparable à Herma-Québec ?

- EUH quoi exactement ?

- Bah mon sang ! Tu ne sais pas que les ghoul se nourrissent de sang ? Mais dans quel monde vis-tu ??

- Euh DAAAhhhh!! DANS LE MONDE DES HUMAINS!!!!!!

Ah oui... j'avais oublié...

- ‘Pas une excuse!

- *soupir découragé*

- Ok ok, ‘Fâche-toi pas ! Mais c’est bien la que tu travail, dans un bureau d’ Herma-Québec près d’ici.

- Oui oui, un bureau pas un labo!!

- Ahh. *se tire une chaise* La bouteille devrait te durer quelques jours si t’es pas trop vorace.

...

Une fois assis, un silence de mort règne... son regard... elle a l'air de se posé tant de question !

- Ah oui ! J'oubliais ! Pour ta surprise, tu l'auras demain soir lorsque tu viendras me voir. A ta place, je serais impatiente ! Tu ne pourrais pas avoir mieux comme cadeau de bienvenu...

-Ah oui ! J'oubliais ! Pour ta surprise, tu l'auras demain soir lorsque tu viendras me voir. A ta place, je serais impatiente ! Tu ne pourrais pas avoir mieux comme cadeau de bienvenu...

Quoi encore cette histoire, j'espere que ce cadeaux me donnera moins mal à la tête que le dernier. J'ai l'inpression d'avoir la gueule de bois et je m'assied pour ne pas encore chuter, sous les yeux de Sir A . Et mer**, on pas déja passé une nuit qu'il en a une autre à flambée!!

-...

- Cette surprise si spéciale est-elle moins...épuisante que la dernièr *montre la bouteille qui se trouve sur la table*

- Cela va dépendre de toi !

-...*tappe sur le front*

- Qu'y a-t-il ? Si tu resites a tes transformations, tu peux bien en endurer !

- c'est un compliment sa ??

- Hum... peut-être bien... *grand sourrir laissant enrevoir ses canines*

-Sir A...

- Appelles-moi maître, c'est plus court ! ^^

- Euh Sir Aldea, avez-vous d'autre informations qui serai pertinent que je sache?

- Bonne question...

- Ah sa va les niaseries! j'ai l'impression d'avoir la geule en fer ! Je suis donc pas très de bonne humeur !

- Voyons ! Les menstruations, ça ne te va pas !

-Aucun rapport.

- Ah...

Je me leve pour aller me chercher un verre d'eau. Je sent que Sir A me suis. Il va être décu XD. Une fois mon troisième verre d'eau caller, je déposer mon verre dans le lavabo.

-Bon, et si je te montrai cette surprise ?

-D'accord.

Je me dirigais vers ma chanbre pour me changer. Mais je crois que Sir A. est un peu... obsédé XD j'ai du lui claquer la porte a la figure et barré la porte pour finir par commencer a me changer!

On est donc parti et mes jambes ont suivi le chemin quelle connaisait, sir A. marchais a côté de moi. C'est comique comme image, deux personnage imposant en manteau long dans la rue nocturnes...

On finit par arriver, et il m'arreta devant la porte, avant qu'il ne l'ai ouvert

-...

Elle prend un certain temps avant de dire autre chose. Quand finalement:

- Cette surprise si spéciale est-elle moins...épuisante que la dernièr *montre la bouteille qui se trouve sur la table*

Je retiens de justesse un rire diabolique... épuisant ? Peut-être.. lorsqu'elle tombera dans les pommes elle se reposera.. donc... ce ne sera pas vraiment épuisant vu comme ça...

- Cela va dépendre de toi !

Elle semble ensuite exaspéré..

- Qu'y a-t-il ? Si tu resites a tes transformations, tu peux bien en endurer !

- c'est un compliment sa ??

- Hum... peut-être bien... *grand sourrir laissant enrevoir ses canines*

- Sir A...

Je la coupe sèchement en disant:

- Appelles-moi maître, c'est plus court !

Bah quoi ? c'est vrai non ? Sir Aldea c'est bon pour les sbires que je vois deux trois fois par semaine.. mais celle-là on dirait qu'elle prononce mon nom tout les 5 minutes. Ça devient quaisiment fatiguant à la longue.

- Euh Sir Aldea, avez-vous d'autre informations qui serai pertinent que je sache?

MAITRE ! Appelles-moi Maitre bon sang ! (haha.. ca c'est de l'humour de vampire)
hum... bref, peut importe !

- Bonne question...
- Ah sa va les niaseries! j'ai l'impression d'avoir la geule en fer ! Je suis donc pas très de bonne humeur !

Non mais pour qui elle se prend de me parler sur ce ton celle-la ? Elle a déjà oublié qui je suis ?

- Voyons ! Les menstruations, ça ne te va pas !

- Aucun rapport.

- Ah... ( Disons...)

Elle se lève. Je la suis. Elle ne va que prendre une verre d'eau. J'hésite à lui proposer un verre de sang à la place... c'est meilleur pour.. la santé ! Mais je n'en dis pas un mot. À la place, j'ouvre la bouche pour lui proposer autre chose.

- Bon, et si je te montrai cette surprise ?

- D'accord.

Bien ! mais ??? Où va-t-elle ? Elle entre dans sa chambre. Qu'est-ce qu'elle va faire là ? Elle ouvre un tiroir. Je ne comprend toujours pas.

- Qu'est-ce que tu fais là ? Tu veux me matter c'est ça ?!?

Ah ! Elle veut se changer ! Bizarre... je la trouve très bien comme ça moi...

- C'est une proposition ?

Trois secondes plus tard j'étais de l'autre coté de la porte, sur le plancher, une belle empreinte de main à la figure.


***

Après ce petit épisode, je l'ai emmener chez moi, dans ma demeure.
Sur le seuil de la porte. Je l'ai regardé dans les yeux. Es-tu prêtes ma chère ?

J'ouvris la porte. De l'autre coté se tenait un jeune homme.

Les yeux d'Az s'agrandirent, sa respiration arrêta net.

- Je ne crois pas que ce soit nécessaire de faire les présentations mais bon... Mike, Az. Az, Mike...